Chambre 5 - Nakamura Kiosuke (et Amane Kei mais shut)

Il s'assirent donc, tout deux, autour de la table. Kei commenca sans tarder à servir le thé, si vite que Kiosuke en fut un peu perdu. Ou plutot... Il trouvait qu'elle se donnait bien de peine juste pour lui. Il en était heureux, mais elle ? Elle souriait, c'était un fait, mais que cachait ce sourire ? Etait-elle vraiment heureuse... Il ne le savait pas, et s'inquiètait un peu de l'avoir peut-être forcé à venir avec lui... Après tout, peut-être voulait-elle resté là ou elle était avant, mais que, pour lui faire plaisir, elle l'avait suivie ? Il ne savait plus, et il avait tout ces tracas en tête.

Malgré tout, il préfera, lui-même, gardé ces soucis pour lui, du moins pour le moment. Ainsi, lorsqu'elle lui proposa du thé, il accepta avec plaisir. Il fallait dire qu'il préferait le café, c'était certain, mais ils n'en avait pas, et elle s'était démenée pour lui préparé quelque chose de correct. Il ne pouvait pas se permetre de lui refuser la boisson par prétexte qu'il en préfèrait une autre.
Elle lui servit donc la tasse, souriante et la lui passa. Lorsqu'il tendit la main et prit la tasse, sa maiin entra en contact avec le doigts de Kei, il eut un frisson. Non pas que c'était un frisson dérangeant, c'était plutot une drole d'impression qui lui parcoura toute l'échine, il hésita un instant, ne prenant pas la tasse imédiatement. Cet instant fut très court, mais surement perceptible. Il sourit alors à sa compagne, la remerciant doucement.

Il y but une gorgée... Il était chaud, mais était bon. Il déposa la tasse qu'il tenait entre les main et, par dessus les éfluve de vapeur s'échapant, fixa d'un regard passioné la jeune fille, occupé à lui servir une brioche. Vint ensuite le tour des mets un peu plus fin, il accepta tous et se regala, dévisagent la jeune fille, elle était mignonne... Non, belle, oui, c'était une belle jeune femme.

Enfin, Kiosuke eut terminé, c'était un bon déjeuner, cela faisait un petit tant qu'il n'avait pas mangé ainsi. Il posa donc ses coudes sur le bord de la table joingnit ses mains et posa son menton dessus. Il regarda Kei finir son repas en souriant, elle semblait y prendre plaisir, c'était tant mieux. Enfin, lorsqu'elle eut terminé.

"Merci beaucoup, ma petite Kei. C'était un exelent petit-déjeuner. Je ne te remercierai jamais assez..." Il marqua un temps, laissant un peu de tendresse envahir son visage, tel était son sentiments en cet instant. "Bien, nous pourrons donc allez faire les course aujourd'hui, je n'aie pas cours, heuresement. Enfin... Si cela te dit toujours, bien evidement." Sur quoi il lui sourit doucement, et fit mine de se lever, prenant quelque affaire au passage, il se dirrigeait vers l'évier, en vue de faire la vaisselle.

Vu qu'ils était à deux, et qu'il n'y avait pas grand chose à laver, la vaiselle fut rapidement faite. Il avait bien proposer à Kei de le laisser faire, étant donné qu'elle avait déjà prit la peine de leurs préparé le repas, mais elle tint à l'aider. Il accepta donc, et en fut un rien ravi. Non seulement, cela irait vite, mais de plus, il pouvait faires tout deux la conversation sans devoir élever la voix.
Alors que ce fut terminé, il rangea les quelque dernier objets, tandis que la jeune fille allait se laisser tomber dans le canapé. Peut-être se sentait-elle mal ? Il se dépecha de mettre en place le dernier couvert, puis s'aprocha de Kei pour lui demander son état. Heureusement, elle semblait allez bien, et vint même lui dire merci. Il ne comprit pas tout à fait pourquoi, mais accepta le fait avec plaisir.

Elle l'entraina ensuite hors de leurs chambre. Elle semblait avoir décidé qu'il irait le matin directement, Kiosuke ne s'y opposa pas. *Pourquoi pas, après tout...* Il verrouilla donc leurs porte d'appartement, puis se tourna vers la demoiselle qui lui sourit gaiement. Il répondit à son sourire et s'en aprocha. Elle lui prit la main, et l'entraina jusqu'au marché. *Voila pourquoi elle voulait allez ce matin, c'est le marché...* Une nouvelle chose dont il ignorait l'existence. Décidement, Kei lui était précieuse... A tout point de vue.

Des tas d'échope ambulante, ou de plus gros marchands, était le long de la large rue. La foule était aussi au rendez-vous, mais heureusement, l'atmosphère n'était pas trop oppressante. Bien que si il avait du se presser aux cotés de nombreuses personnes, il seserait rapidement sentit mal à l'aise. C'était vrai, cela, il n'en avait pas tenu compte, et n'en avait pas parlé à Kei non plus... Mais bon, il chassa cette dernière pensé dans un recoin de sa tête, le moment venu, il aviserai.

Ainsi, il s'avancait de plus en plus au centre du marché, s'arrètant de temps en temps pour regarder divers objets. Autant d'objets différent qu'incongrus. Par exemple, il y avait un marchand de pipe à coté d'une échope de bonbon. En passant par les petit met tout préparé au autres viande à cuir soi-même. Ainsi que les légumes et autre condiments.
Kiosuke suivait la jeune fille qui l'entrainait par la main, il souriait car elle semblait très heureuse. Comme si... Elle ratrapait un temps perdu... Cette denière idée la travailla un peu, mais quand elle l'amena devant une boutique de vetement, il reprit sourire, il ne fallait pas la rendre encore malheureuse.

Pour l'instant, il n'avait fait que regarder, et il se laissait toujours entrainer par Kei qui riait de bon coeur. Qui riait... Car elle ne rit plus. Même, elle le lacha et baissa la tête. Kiosuke fronca les sourcil, que se passait-il ? Vu qu'il était un pas en arrière, il pressa l'allure pour arriver à heuteur de la demoiselle. Pourquoi faisait-elle cette mine là, qu'est-ce qui la préocupait ?
Kiosuke n'en savait rien, mais la laisser seul ainsi n'arrangerais pas les choses. Pour la réconforter, il passa son bras dernière le dos de Kei, et posa sa main sur la taille de la jeune fille, en vue de la raprocher, voir la coler à lui. Peut-être ce contact la rendrait-elle plus souriante, Kiosuke ne savait pas vraiment, mais en tout cas, il était certain que lui, contrairement à la plupart des gens, avec qui il se serait senti mal à l'aise, il se sentait bien avec elle. Ainsi, il raprocha sa tête de celle de sa compagne.

"Bien, je n'aie pas vraiment fait attention... Qu'a-t-on besoin pour remplir nos armoires vides, ma Kei-chan d'amour ?" Ce petit pseudonime, finalement plus long que le nom original, il le disait en souriant, c'était vrai, qu'il aimait beaucoup la demoiselle. Après tout, cela faisait longtemp qu'il n'avait pas eu de relation dépassant le stade de la vague camaderie, et il était heureux de se sentir proche de quelqu'un, à nouveau.