Chambre 5 - Nakamura Kiosuke (et Amane Kei mais shut)

[Suite du couloir]

Alors qu'il arrivait du coté des dortoirs, Kiosuke poussa un leger soupir. Il était un peu las de ne pas avoir trouvé ses bagage en chemin, mais il s'en doutais aussi. Il faudrait qu'il aille voir à la permanence, sans doute, voir si on ne lui avait pas apporté ses affaires. Par contre, une chose de bien, il avait déjà récupèré la clé de sa chambre au paravant, donc il n'aurait pas de problème pour entrez.

Maintenant, une question se posait, et Kei l'avait bien soulevée... Qu'elle porte était celle de sa chambre ? Hum... Le jeune homme s'intérrogeai, et lacha donc sa compagne pour s'avancer dans le couloir. Il fut heureux de voir que les nom était mis au coté des portes, indiquant qui occupait la place. Il n'y avait donc plus qu'a chercher son propre nom, et il saurais où se trouvait sa chambre.

"Viens, suis-moi !" Fit-il derrière lui, avec confiance. Notre ami savait parfaitement que faire et après tout, rien n'était compliqué. D'ailleurs, il n'eut pas à chercher longtemps, sa chambre se trouvait près de l'escalier par lequel ils étaient arrivé, mais assez loin pour ne pas attendre les bruit de pas, du moins normalement, de l'intérieur de la pièce. Il serait donc tranquille. Il ? Non, ce serait plutot eux, Kio-kun et Kei, qui serait tranquilles.

"C'est ici, normalement... Nakamura Kiosuke, qu'il est marqué. Apparement, je suis tout seul..."

Et c'était tant mieux, si Kei venait vivre avec lui. Expliquer ce fait irréel à quelqu'un non préparé aurait pu causer quelque trouble, et si on ne l'expliquai pas, alors là, les ennui aurait été fameux. Il fit signe dans l'air à Kei de le suivre, et glissa la clé dans la serrure. Il n'eut qu'à faire un tour pour déverrouiller, la dernière personne ayant quitter la pièce n'avait donc pas fermer totalement la porte. Kiosuke abaissa la clanche et poussa la porte...

Le cot commencait pas un couloir court, pas trop étroit, avec une porte sur le mur de gauche. Derrière celle-ci se trouvait surement la douche, lavabo et toilette. Kiosuke s'avanca et vit que le couloir s'élargissait en une petite pièce de vie. Cette dernière était vide en son centre. Sur le mur droit se trouvait une bibliothèque, vide bien sur, suivit d'un petit fauteuil à l'air confortable. Contre le mur séparant cette pièce de la salle de bain, il y avait de quoi faire la cuisine, plaque électrique, évier et diverse petite armoire, une plus haute que les autre. Sur le mur gauche, par contre, était aposé un petit sofa noir rayé de gris, ce n'était pas spécialement beau, mais c'était là.
Kiosuke était impressioné par ce qu'il voyait, il avait du mal à en croire ses yeux.

"C'est pas vrai... C'est une suite d'hotel ou quoi ?!" Il en était si étonné qu'il pensait à haute voix. D'accord, c'était un établissement privé, mais tout de même... Mais bon, ce n'était pas juste privé, c'était spécial, aussi. Kiosuke ne savait pas si c'était subventionné par l'état, mais il ne connaissait personne capable d'entretenir pareil chose qu'une école à ce point luxueuse.

Il ouvrit la petite porte qu'il avait vu et fut sidèré. Il avait eu raison, c'était bien la salle de bain, avec lavabo, douche et toilette, rien de plus, mais c'était d'une blancheur et d'une richesse, avec un beau mirroir contre un carrelage parfaitement tenu. Jamais il ne saura gardé cela aussi propre...

Curieux d'en voir plus, Kiosuke poursuivit son exploration. Tellement plongé dans sa découverte qu'il en oublia la présence de Kei. C'était un peu normal, il était sidèré. Il examina le boix de la bibliotèque... C'était du plastique, mais l'ouvrage était très esthétique. Il était cependant évident que cene serait pas du vrai boix, cela aurait couté trop chèr à entretenir, fallait pas exagèré. En se retournant vers la 'cuisine', il remarqua une porte auquel il n'avait pas fait attention, sur le mur de gauche, un peu avant le sofa. En passant devant les armoire, il fut intrigué par celle plus grande et l'ouvrit... Un frigo ! Et , sentant le courant frais, il en déduisit qu'il était allumé. Poursuivant son idée première, il alla ouvrir la porte et se retrouva dans une autre pièce, pareil à la première en taille. Par contre, elle était vide ci ce n'est deux armoire fermés et un large lit au centre, un place. Sur ce lit se trouvait... Les bagage du jeune homme !

"Eh bien..." Voila, son 'cot' qui semblait plus être une suite, serait maintenant son chez soi. Et c'était bien plus qu'il ne l'avait estompé. Il regarda le mur du fond, il était orné d'une large vitre, identique à celle présente dans la pièce précedente.

Kiosuke se raprocha du lit avec lenteur, sa joie venai de tomber, il s'y éfondra et plongea sa tête entre ses main. C'était trop irréel, en plus, non, impossible... Kiosuke se sentait maintenant très mélancolique...

Kiosuke était à moitié ailleurs, perdu dans ses pensées. En fait, c'était trop, il se disait qu'il avait dut s'endormir, il se réveillerais. mais c'était tellement vrai... Non, c'était vrai. Mais c'était trop bizarre... Pour cela, il avait du mal à croire ce qu'il voyait. Qu'elle école donnerais de pareille chambre à ses pensionnaire, et surtout, pourquoi l'avait-on envoyé là, après qu'il eut dévoilé son pouvoir à cette femme. Tout cela le perturbait, en quoi cette école était spéciale ? Il le sentait, mais n'en connaissait pas la raison. tant de mystère...

C'est alors qu'il entendit un bruit, loin... Un rire ? Oui, c'était cela, quelqu'un venait de rire. Mais c'était tellement faible, il n'en était pas sur. En fait, il ne savait même plus ou il était lui-même... Encore au Lycée ? Oui, surement... Mais comment en être sur ? Ouvrir les yeux, peut-être. Il le fit, péniblement. C'est alors qu'il entedit quelqu'un lui parler, lui parler juste devant lui. Non impossible, c'était son imagination, il ne voyit rien, devant lui. Soit il divaguait soit cette personne pouvant ce rendre invisible.

Kiosuke se mit à rigoler doucement, il laissa à nouveau ses paupière tombé. Personne ne pouvait être invisible, qu'elle idée ! Et c'était lui qui penssait ca... C'était lui qui penssait ca ?! Alors qu'il avait lui même de droles de faculté, tel celle de lire le coeur des gens, et voila qu'il disait qu'on ne pouvait se rendre invisible !
Kiosuke se reprenait soudain. Mais qu'elle idiot il était ! La personne qui venait de lui parler, c'était kei, bien sur. Et lui qui ne le croyais pas, mais quel imbécile. Il ouvrit soudain les yeux, se tapa le front et se redressa. Une fois assit sur le lit, il leva la tête vers l'embrasure de la porte. Que lui avait-elle dit ? Ah oui, elle demandait pour rester. Bien sur oui, il allait lui dire oui.

Kiosuke pris le temps de se calmer, respirant quelque fois, puis acrocha un sourire à son visage. Il acquiéca alors. "Bien sur que tu peux vivre ici, Kei. Considère ce lieu comme ta propre maison, désormais." Il était très heureux de pouvoir lui offrir quelque chose, pour une fois, il était utile.
Alors, il ouvrit son bagage, fouilla un petit peu. Il était sur d'en avoir, oui, au moins un petit peu. Et elle lui avait dit qu'elle aimait ca... Heureusement, il n'eut pas à chercher longtemps, il se lev alors, avec son paquet en main, et tendit à Kei - enfin, il tendit en tout cas, devant lui - les langue de chat sur à souhait qui lui restait, dans leurs paquet plastique transparant, qu'il n'avait pas encore ouvert.

"Ca te fera plaisir je crois, et te redonnera des force, non. C'est ce que tu m'a dit, je pense..."

Puis, il pris ses bagage et les posa sur le sol, il ranerais plus tard, il n'était pas prèssé. Pour le moment, il faudrait d'abord s'installer un minimum pour le soir.

Tandis qu'il sortait son réveil, il demanda, d'une petite voix, à la jeune fille:

"Et après tu... Tu voudra bien te montrer ?" Il hésitait un peu, peut-être désirait-elle restée caché de son regard. "S'il-te-plait, et tu n'est pas obligé du tout, bien sur." s'empressa-t-il d'ajouter, d'un petit voix.

"Oulaaa, attention !" Fit-il avec un petit rire, lorsqu'il la sentit lui sauter au cou. Il ne s'y attendait vraiment pas et, ne l'ayant pas vue arrivé (c'est le moins qu'on puisse dire xD), il fut nettement surpris et failli vaciler. Heureusement, elle était toute légère et il se rééquilibra donc sans problème.

Alors, elle lui demanda si elle pouvait prendre un bain. Oui, un bain, il lui en aurait fallu un, a lui aussi. Bah, il le prendrait après elle, lui, ca ne faisait qu'une journée, elle, ca faisait dix ans. Effectivement, elle avait al prioritée. Cependant, il parlait de bain... Mais il n'avait pas bain.

"Eh bien... Oui, d'accord, ca ne me posa aucun problème mais... Il n'y a pas de bain." Là, il ne put s'empècher un sourir,e mais elle ne le savait peut-être pas, il ne savait plus si elle avait regarder avec lui le cot ou pas. "Par contre, il y a une douche. Tu vois la porte près de l'entré, c'est juste là."

Lorsqu'elle lui parla de ses vetement déchiré, par contre, il ne put s'empècher de rougir. Il s'imaginait une jeune fille, sans visage, habillé de vetment trouvé et laissant voir certaine partie intime - ou pas - de son corps. C'était sensuel et à la foix embarrasant pour Kiosuke. Même si elle ne pouvait savoir ce à quoi il pensait, il détourna le regard, mais ne sachant pas bien par ou, finit par se décidé à regarder dehors, l'horizon.
C'est alors qu'il se souvint de sa propre demande, qu'elle se montre, et rougit à nouveau. Si elle était vraiment en lambeau, et qu'elle lui apparaissait... Kiosuke se pencha alors vers ses affaires, à la recherche de quelque vetement qui pourrai lui convenir. Mais il seraient surement trop grands...

"Attend, heu, deux seconde..." Cela ne pris pas trop longtemps, mais il fallait qu'il aille au fond de son sac. "Ah voila, tiens. Bon, c'est juste heu... Comme tes vetement sont en lambeau, que tu as dit... Enfin, voila voila, si tu veux..." Sur quoi, il baissa aussi les yeux, avec un petit sourire timide.

Les vetement qu'il avait tendu à Kei consituait en un Short beige et un T-shirt blanc, tout deux adapté à la taille de Kiosuke, ce qui pouvait être assez différent de celle de la jeune fille. Il espèrait que cela lui irait. Sinon bah, on verrai bien...

[Je te laisse expliquer quand tu prend ta douche. Pour gagner des ligne, tu peux expliquer ce que tu fais dan sla sale de bain, ce que tu ressend en ce moment bref, je te laisse faire au mieux, mais comme j'aie déjà dit, ce n'est pas la peine d'avancer très vite en peu de ligne, on à le temps, le mieux est de faire l'inverse^^]

Lorsque Kei accepta de prendre les vetement, Kiosuke releva la tête et sourit gentillement, tout trace de timidité ayant disparue. Les vetement disparuent lorsqu'il les lacha, et puis, il n'entendit que la porte s'ouvrir puis se fermer. Il resta encore immobile, un moment, jusqu'a ce qu'il entende la douche couler. Il se décida alors à ranger ses affaires. Tant qu'a faire, autant profiter de ce temps ou il n'aurais fait que révasser.

Ses afaire furent cependant plus vite rangée qu'il ne le pensa. En effet, il n'avait pas beaucoup de bagage. Les quelque livre et revues qu'il avait, il les rangea avec soin sur la belle étagère, ses vetement, il les place dan sles armoire de la chambre, qu'il ouvrait pour la première fois - il remarqu'a ainsi qu'il y avait une penderie dans chaque armoire - et se dit que ce serait bien trop pour lui seul. Il regarda alors en direction de la salle de bain...

*Hum, ca lui ferait plaisir d'avoir de quoi se changer, même si ce n'est pas vraiment utile... Elle se sentira peut-être plus heureuse ainsi...*

Sur quoi il décida de laisser la seconde armoire pour Kei. Enfin, il brancha le réveil et en régla l'heure, sur son gsm. Son sac était presque vide, restait encore sa broasse à dent, ses affaire de bain, et son mp3, le chargeur étant présent aussi, évidement. Mais au fait, elle aimait quoi, comme musique, Kei... ? Il faudrait qu'il lui demande plus tard. Quand à ses affaires de bain, il les rangerais lorsque sa jeune amie aurait finis. D'ailleurs, il n'entendit soudian plus la douche, elle allait donc bientot sortir.

Il se décida donc, puisque tout était ranger, à mettre son sac au dessus de son armoire et à s'allonger sur le lit. Mais il y penssait... Elle dormait où, Kei ? Enfin, plutot, comment ? Si elle avait besoin d'un support... Certainement ! Bah, il lui laisserais la lit alors, et il dormirais sur le sofa. Il n'y avait pas pensé avant, mais bon, ca n'avait pas l'air trop inconfortable, et c'était lui qui avait demandé à Kei de venir, normal qu'il lui laisse le lit, tout de même.

Cela faisait quelque temps qu'il revassait, et Kei n'était toujours pas sortie, eh bien, que faisait-elle ?! Ca faisait déjà 10 minutes... Soudain, la porte s'ouvrit. Kiosuke ravala sa pensée, Kei avait finie. Il se rassis sur le lit, et attendit donc la demoiselle. Etait-elle encore invisible, les vetements lui allait-elle, si elle les avait remis ? - il rougit à nouveau et ne pensa plus à rien, attendant tel un enfant près à recevoir un cadeau dont il ignore l'existence...

[voila voila, je te laisse champ total libre, laisse ton immagination virevolter^^]

Tellement il ne pensait à rien, Kiosuke ne percu pas l'appel de lui fit Kei. En fait, c'était à croire qu'il ne percrevait plus rien du tout. En fait... Si il voyait encore devant lui, et entendait encore, mais seulement ce qu'il voulait bien, c'était sur. Si on devait trouver un mot exprimant plus ou moins son état à ce moment, on aurait pus dire qu'il... glandait, tout simplement.

Malgré cet état, il ne put s'empècher de remarquer la jeune fille s'aprocher, le salué sur un ton presque craquant et prendre rapidement un bonbon du paquet - qu'elle avait posé sur la able de nuit avant d'aller prenre sa douche. Il remarqua la jeune fille, l'entendant d'abord. Kiosuke pencha la tête, il la regardait, elle lui souriait. Mais qui était cette fille ? Bien sur, elle était jolie, ravissante même, avec ses cheveux tombant en cascade, mais que faisait-elle dans sa chambre ? Et pourquoi Kei n'était toujours pas arrivé ? Notre jeune ami fronca les sourcil d'intérrogation.

Soudain, il se redressa violament, près à lui demander de partir. Il aurait aimé que cette jeune inconnue quitte la chambre, mais cependant, il ne sentait pas mal à l'aise, comparé aux autre filles ave cqui il avait déjà été.

"Mademoielle, pouvez-vous..." Cependant, il fut coupé court dans sa phrase, par cette impétueuse qui vint lui demander son avis. Mais que voulait-elle à la fin ! Alors, alors seulement, il reconnu la voix, et fit le lien. Cette voix... C'était celle de Kei, sna saucun doute. Et cette merveilleuse demoiselle devait être, alors... Il fit alors attention au vetement, il les reconnu, c'était les sien. Mais arrangé d'une autre facon qui faisait qu'il n'avait pas tout de suite remarqué leurs appartenances.

Pour la première fois depuis qu'il l'avait rencontré, Kiosuke voyait l'apparence qu'avait Kei, autant en couleur qu'en détails, tandis qu'il n'avait percu que sa silouhette au paravant, c'était comme la rencontré à nouveaux. Il en restait sans voix... A tel point qu'elle lui parla sans qu'il comprenne immédiatement, il était sous le charme, avec cette chevelure flottant à chaque pas, et ces jambes fine et élegente dans tout leurs aspect. Et ces yeux, c'est yeux profond, il les voyait enfin...

Kiosuke se leva, doucement, s'aprocha de Kei et lui baisa le front, légèrement, tel un éfleurement.

"Bonsoir, jeune demoiselle..." Lui dit-il alors, tendrement. "Vous êtes ravissante, le savez-vous ?" Bien que les vetement n'était pas vraiment adapté, elle les avait arrangé, et cela lui donnait vraiment une belle allure.

Elle l'avait remercier pour la douche, il s'en souvenait. Allait-il en prendre une ? Oui, il se l'était dit. Il fallait aussi qu'il range ses affaires. Il en prévint donc Kei, en sécratant d'elle, et se dirrigea vers les affaire de bain qu'il avit posé près de son oreiller.

Il ramassait ses quelque affaire, et se retourna. Kei lui demande alors si elle pouvait lui apporter une aide. Le pouvait-elle ? Hum... En fait, il ne savait pas si il avait besoin de quelque chose, il ne savait pas non plus ce qu'elle aimait faire. Elle n'allait tout de même par rester toujours coller à lui. Ca ne le dérangeai pas mais elle, elle aimerais surement s'amuser, il ne voulait pas l'emprisonner.

Sur un accord intérieur, il passa près d'elle, en lui disant que non, qu'elle était libre de s'amuser comme elle le voulait. Si elle voulait sortir, c'était son droit, et d'ailleurs... Kiosuke reposa ses affaire et fouilla sa poche. Il en tira les clé qu'il avait en double et en décrocha une du petit trousseau qu'il avait. Il pris la main de la jeune fille, y déposa la clé qu'il avait oté, et referma cette même main avec un sourire de confiance.

"Tu est libre d'aller et venir, Kei. Surtout, n'hésite pas, tu es ici chez toi."

Ca pouvait sembler un peu cérémonieux, mais comme il l'avait pensé, il ne voulait pas qu'elle se sente prisonière. D'un coté, c'était bête ce qu'il faisait. Si elle le désirait vraiment, Kei pouvait perdre toute consistance physique, et passer au travers du mur, mais alors... Alors, et notre ami le savait, elle se verrait aussi contrainte de se rendre invisible, pour atteindre son état imatériel, et cela, Kiosuke ne voulait pas. Maintenant qu'il l'avait vue, il voulait qu'elle reste visible. C'était un peu présompteurx, voir même égoiste. Et si elle le voulait, elle pouvait le faire quand il ne regardait pas mais... C'était ainsi, il apréciait cet esprit. mais pouvait-il encore la considèré comme un esprit ? Oui, il fallait qu'il reste lucide...

Sur quoi, il reprit ses vetement, après avoir laché la main de Kie - sa main était chaude... - et se dirrigea vers la salle de bain. Lorsqu'il passa devant la cuisine, il se dit qu'il commencait à avoir fain. Il devrai dessendre à la cantine, qu'elle corvée, alors qu'il avait une cuisine. M'enfin, aussi, il ne savait pas cuisiner alors, à quoi bon lui mettre à disposition tant de matériel.

Kiosuke ossa les épaule, et repris sa courte route. Une fois dans la petite place, il mis pendre sa serviette sur un des crochets - un autre était occupé par celle de kei, qui était celle fournie par le pensionnat - posa sa brosse à dent sur l'évier et son gant de toilette sur un bord de l'évier.
C'était une bel présentation, un bel ordre, il était satisfait. La douche était encore humide, bien entendu. Kiosuke se désbilla rapidement, il était nu. Devant la glasse, il se regardait. Longéligne, il n'était pas si mal, peut-être un peu maigre... Bah, ca lui allait bien. Après quoi, il se glissa sous le pommeau, tourna le robinnet d'eau chaude, et fut surprit par la chaleur de l'eau.

"Ouaw ! C'est brulant !!" Et ce n'était pas sans dire, il en avait un rien mal. Il rajouta vite de l'eau froide, afin d'équilibré la balance de chaleur. Voila, c'était bien ainsi. Eh ben, elle aimait l'eau chaude cette Kei, très étonnant. Il ne pourrait pas prendre de douche en même temps, ca le brulerais. Mais... A quoi penssait-il là ?! Prendre des douche en même temps, mais quel idée. En ce moment, Kiosuke trouva qu'il s'imaginait bien des choses. Faudrait qu'il arrète. Pour changer de sujet, il décida commencer à sa savonner, il coupa l'eau, et se lava.

Voila, il était propre, il se sentait bien. S'essuyant rapidement, il passa alors une serviette autour de sa taille - toujours nu en dessous - et ouvrit la porte.

"Dis, il faudra descendre manger, tu viendra avec moi ?" Cria-t-il alors à Kei, la pote ouverte, l'air fraid le rafraichissait rapidement.

"Très bien !" fit-il en guise de réponse à l'approbation de la jeune fille, quand à l'accompagner pour prendre un repas. Elle trouva sujet à rire sur la tenue dans lequel il état habillé. Evidement, il n'irait pas ainsi, mais ne savait encore que mettre... Peut-être se rahbillerait-il avec les même vetement qu'il portait avant de se laver. Hum... Oui, c'est ce qu'il ferait. Ils n'était pas spécialement sale, et il n'en avait pas énormément, il avait prévu un strict minimum, et acheterai le reste sur place. Il faudrai qu'il aille faire les boutique le landemain, après ses cours.

Il ne répondit rien, et ferma la porte. Cependant, il pensait changer de sous-vetement, et cela, il n'en avait pas avec lui dans la salle de bain. Evidement, d'habitude, il n'avait pas de personne avec lui, et surtout pas de fille. Bon, il avait le choix, soit il demandait à Kei d'aller lui chercher ses affaires - mais ca, c'était peut-être exagèré de lui demander de fouiller dans ses sous-vètements - ou bien il traversait la pièce en serviette. Bah, oui, ce n'était pas grave qu'elle le voie ainsi, après tout. Et puis, il ne céssait de la considèré comme une fille, mais c'était une esprit. Et dieu seul sait depuis quand - avec elle-même bien sur - elles était morte. Elle avait surement déjà été curieuse et constater la chose, si ce n'est de son vivant.

Donc, Kiosuke se décida. Il secha les dernière partie de son corp encore humide, fixa la serviette à sa taille et prit ses vetement à bras. Il ouvrit la porte de la salle de bain - qui n'avait pas de serrure, il était cencé être seul dans cette chambre - et sortit. Il traversa rapidement la pièce jusqu'a la chambre, en souriant à Kei, comme si il était un petit chapardeur qu'on prenait sur le fait. "Je reviens tout de suite." Lui affirma-t-il, juste avant de fermer la porte derrière lui.
Après s'être changé, content d'être propre, il sortit. Kei était toujours là, elle l'avait attendu, encore.

"Bien, et si on y allait, maintenant ?" Tandis qu'il se dirrigeait vers la porte du cot, la clé à la main, pour vérrouiller derrière eux.

[Suite de la cafetaria]

Kiosuke ne s'attendais vraiment pas à ce que Kei vint refuser son offre, une fois devant leurs chambre. Il la regarda un moment, bouche-bée. De plus, elle ne lui donnait pas vraiment de raison...

"Tu es sur de toi ?" Demanda-t-il quand même. Mais la jeune demoiselle semblait être décidée. Il n'allait tout de même pas la forcée. "Bon, si tu le désire vraiment." Ainsi, il acceptait la requète, sans pour autant la trouver spécialement mauvaise, elle l'étonnait juste. D'un coté, c'était bien pour lui, car il serait certainement mieux installé dans le lit que sur la canapé, vu sa taille.

Sur cette désision, il rentrairent tous deux dans leurs cot. Sans qu'il ae vraiment el temps de réagir, la petit Kei s'était déjà vrautré sur le canapé, se tournant en tout sens. Kiosuke, lui, s'appuya d'une péuale sur le mur et regarda la demoiselle, en souriant. Il se dit que si il avait eu une petite soeur, ca aurait sans doute été pareil, si il en avait eu une... Mais la vie, ou plutot, ses parent, n'avait pas vue leurs avenir ainsi. Surtout sa mère, qui ne voulait s'emcoubrer d'un enfant.
A cette dernière pensé, Kiosuke ferma les yeux. Cela le rendait un peu malheureux, de penser à ces choses-là. Et puis, ca appartenait au passé, il ne devrait plus s'en inquièter comme cela, mais...

Malgré tout, il fut sortit de sa réverie par Kei, qui riait et, lui, curieux, ouvrit naturellement les yeux pour la trouver dans une drole de posture, diffile à décrire, mais certainement dérangeante pour la jeune fille. Il la regarda quelque instant, puis se mit à rire doucement, en clignant des paupières. Elle semblait ne pas s'en sortir toute seule, il se reprocha donc, s'agenouillant près du canapé.

"Bon... Tu tes bien coincée tu sais ?" Lui dit-il en souriant. Heureusement, ce n'était pas si difficile. Au bout d'un instant, Kei fut de nouveaulibre de ses mouvement. Il la vit alors bailler tellement qu'il se vit tomber dans la gorge de la demoiselle. "Eh bien eh bien, tu me semble fatigué dis-moi. Bon, un instant, je vais te chercher de quoi te couvrir." Sur quoi, il fit mine de se lever.

Kiosuke était debout mais il 'intérrompit son mouvement car Kei vint lui attraper le poignet. Il fronca légèrement les sourcil, se demandant ce qu'elle lui voulait. C'est alors qu'elle s'aprocha de lui, la tête penchée en avant, lui ayant demander de patienter.

"Eh bien, Kei... Un problème ?"

Pour toute réponse, elle le remercia en lui donnant une petite bise, rapidement, presque comme une petite chapardeuse. Il n'eut pas le temps de réagir qu'elle le poussait hors de la pièce, sans violence, mais sans qu'il réagissent non plus.

"Eh ! Mais..." Et voila, il se retrouvait face à la porte, fermé. Isolé dans sa propre chambre, il avait juste entendu la jeune fille refusée son offre pour la nuit. Il resta un moment, bea, face à la porte. Après quoi il le va le bras vers la clanche, mais avant de toucher celle-ci, le laissa retomber mollement contre son corp. Il sourit alors à la porte, et doucement...

"Bonne nuit, petite princesse..." Sur quoi, il se dirrigea à son tour vers son lit. Il changea rapidement de tenue, déplaca les quelque affaire encores présentes sur son lit et se glissa sous ses couverture.

"Brrr..." Effectivement, le lit était froid. Kiosuke ramena ses genou vers lui, se mettant en boule, dan sle but de garder un maximum de chaleurs, il espèrait s'endormir rapidement. Cependant, le sommeil ne venait pas. A la place, s'en vraiment l'avoir cherché, il revit certaine image de sa journée défillé dans son esprit.

*Qu'elle journée chargé... Pfiou ! Et demain, les courses, olala...* Ainsi, sur cette faible rumination du à la fatigue, il finit par s'endormir. Ne sachant pas depuis combien de tmeps il était dans son lit, ne sachant pas non plus à quoi pensait Kei, chose q'il aurait aimé savoir, en fait...

La nuit fut calme pour kiosuke. Même, il fit d'agrables rèves, certain plus inavouable que d'autre, par contre... Malgré tout, le temps passa, inexorablement, pour finallement annoncé l'aurore dans un petit rayon de soleil qui filtrait au travers de son rideau mal fermé. Le soleil était bas, ce qui fisait que le rayon arrivait facilement à éclairé les cheveux de Kiosuke, et le ciel entièrement vide de nuage, et d'une couleur bleu extrèmement clair.

Ce fameux rayon éclairait les cheveux de Kiosuke, et uniquement ceux-ci, car le reste était entièrement enfui sous les couvertures. Il avait tenté de rester bien au chaud durant la nuit, et ne semblait pas avoir énormément gégoté durant la nuit.
Ainsi, la tête sur l'oreiller et la bouche ouverte - il bavait un peu, mais fallait pas lui en vouloir - il ouvrit vaguement une oeil. Et encore, ouvrir était un grand mot, disons qu'il tentait de percevoir quelque chose, mais la seule couleur qu'il vit fit celle de son drap de coussin, qui était blanc.
Il se dit alors qu'il pouvait bien dormir encore un peu, se tourna un rien sur le coté pour être plus confortablement allongé dans son lit, et se rendormit.

A nouveau, il ouvrit les yeux, les deux, cette foix. Il se réveillait doucement. Mais il ne pourrait plus se rendormir, ca, il s'en rendait compte. Kiosuke ramena alrs ses bras vers sa tête, les passant sous son coussin, restant plusieur minutes sans réaction, pensant à des chose qu'il oubliait de suite qu'il pensait à autre choses. L'était pas tout à fait réveillé.
Un temps plus tard, il se dit qu'il faudrait se lever. *Bon.... !* S'apuyant sur ses bras, il releva le torse et ramena ses jambe vers l'avant... Mais il perdit l'équilibre et bascula sur la coté, sa tête heurtant mollement le matelat. Il n'y avait pas eu de dégat, tant mieux, si ce n'est qu'il était un peu frustré d'être encore si endormi.

"Mouai... Ch'est pas 'cor cha..." Se dit-il à lui-même, la bouche enfoncé dans le matière du matelat. D'un coup, il se releva, clignant et se frotant les yeux à plusieur reprises, tandis qu'il se mettait en position assise sur le bord du lit. Il patienta puis se leva, se dirrigeant vers la porte de la chambre qu'il poussa en baillant tel une porte béante. Bien évidement, il n'avait pas prit conscience qu'il était en calecon et t-shirt, ni même que Kei pouvait être en petite tenue en train de dormir. Ce dernier fait ne se revela pas exacte, par contre...

Encore à moitié endormi, Kiosuke ne comprit pas tout de suite ce dont lui parlait kei. Il lacha un vague 'lut' tandis qu'il cessait enfin de bailler.
La jeune fille se retourna soudain, en le voyant arrivé. Il se demanda ce qu'il se passait, jusqu'à ce qu'elle lui parle de sa tenue. L'air bète, notre jeune homme baissa les yeux, la tête suivit ensuite. Il constata dès lors qu'effectivement, il n'était pas très habillé. Mais cela ne le dérangeais pas vraiment, en fait. C'était toujours ainsi.

Cependant, lorsqu'elle lui parla de vetements propres, il commenca doucement à réaliser que Kei était bien là, et que ca la génait de le voir habillé ainsi. Il rougit, car en fait, après réflexion, ca le dérangeait aussi d'être vu aussi dénudé.

"Heu, hum... En fait, je..." Il était un peu honteux. C'était bien la première fois qu'une fille le voyait ainsi, ca le rendait nerveu, et à la foix heureux en même temps. La demoiselle vint à le regarder à nouveau, lui disant que quelque chose allait être prêt et qu'il devait se dépécher. Il n'eut pas vraiment le temps de chercher ce dont elle parlait qu'elle le poussait dehors à l'aide des ses petites mains mais lorsqu'elle lui fit son magnifique sourire, il ne pu s'empècher de lui en rendre un autre, content de la connaitre, oubliant presque la situation embarassante dans laqu'elle ils se trouvaient.

Ainsi, de nouveau, comme la veille, il était enfermé dans sa propre chambre. Il eut un sourir, elle était vraiment adorable. Des vetements dans son armoire, lui avait-elle dit. C'était très juste, il les avait rangé là. Mais avant de se changer, il s'assit sur le lit. Qu'est-ce qui pourrait être bientot prèt ? En plus, il était encore trop endormi pour raisonner logiquement, et pour comprendre directement qu'il s'agissait du petit-déjeuner. Mais il abandonna sa réflexion, se disant qu'il le verrait très vite, en tout les cas.

Il ouvrit dès lors sa penderie, prit en certain temps pour choisir ses vetement du jour et referma les armoire. Il posa tous sur son lit, et commenca à oter son t-shirt. Il prit aussi la peine de changer de sous-vetement, otant son calecon. Malheureusement, il n'avait pas prévu que la jeune fille viendrait ouvrir la porte à ce moment. Il était le calecon ou niveau des cheville, le dos plié, il releva la tête, observant Kei. Il eut un petit rire nerveux, puis tomba à la renverse, faute d'équilibre.

A moitié enmèlé dans son vetement, il finit par oter son sous-vetement, et se releva brusquement, regardant Kei courir vers le salon. Il levas un bras pour l'arrèter et s'excuser. "Att..." Mais à ce moment, il baissa les yeux, rougit et cacha rapidement ce qui devait l'être de ses main, extrèmement gené.
Il continua à fixer la demoiselle, voulant l'appeler à nouveau. Mais il fit une drole de tête, à ce moment, lorsqu'il la vut s'étaler de tout son long. Inquiet, il courut vers elle, oubliant qu'il était nu.

"Argh !" Sur cet onnomatopé exprimant son désarrois, Kiosuke regarda brusquement à droite, puis pivota d'un coup sa tête à gauche. il cherchait quelque chose pour se couvrir. Finallement, et comme la rapidité était de rigueur - il avait déjà assez peiné Kei ainsi - il arracha la couverture de son lit pour se la mettre autour du corps et se redressa, fixant à nouveau l'endroit ou Kei était tombée.

Mais là, sa bouche s'ouvrit, de dépit. La place était... vide. Il cligna plusieur fois les yeux, s'aprochant d'un pas, puis se stopant. Il était tellement ébahi qu'il en lacha la couette pour se donner quelque baffe. *Ou est Kei ?* Cette pensée le traversa, lui faisant oublier tout le reste, il s'aprocha doucement. S'était-elle à nouveau rendue invisible, ou était partie sans qu'il le voie, ou bien... Avait-elle... Complètement disparu ?
Cette dernière idée rendit inquièt plus que tout Kiosuke. Il ne voulait pas... La perdre...

Soudain, une voi s'éleva. Cette voix, il la connaissait, il s'agissait de la jeune fille à qui il tenait... Tant. Apparement, elle semblait juste s'être à nouveau rendue invisible. Elle s'excusait... Mais pourquoi ? C'était lui le fautif, enfin... Il n'y en avait pas.
Le jeune homme laissa de la tendresse envahir son coeur, et son visage afficha une expression de bienveillance. Il s'aprocha de Kei, s'assit à ses coté, et, à taton, la prit dans ses bras. Elle avait besoin de réconfort, elle semblait si triste, dans sa voix...

"Allons, ne t'excuses dont pas. Ce n'est pas ta faute, pardonnes-moi d'avoir si bètement réagit. C'est bon, ne t'en fait plus, maintenant." Sur ces paroles douces, il caressa les long cheveux de la belle demoiselle, qu'il ne pouvait à nouveau plus voir. Il était triste de la voir dans cet état, mais était aussi heureux de pouvoir faire quelque chose pour elle.

Il souriait tendrement, en la sentant apuyer contre lui. Ca devait être la première fois, depuis qu'il se connaissait, qu'ils avaient un tel contact. Mais étrangement, malgré le fait qu'il avait tendance à se sentir mal à l'aise en socièté, il se sentait étrangement bien, au contact de la jeune fille.
D'un autre coté, il était aussi triste de ne plus pouvoir la voir. Non seulement, elle était vraiment mignonne, mais quand il croisait son regard, cela l'apaisait, et cela, c'était bien. Mais bien heureusement, la demoiselle sembla s'en rendre compte, et fit en sorte d'être à nouveu visible. Ainsi, soudainement, il la retrouva la tête posé contre son torse, souriante. Elle semblait paisible, et lui, qui lui carressait toujours les cheveux, aurait pu rester dans cette position à jamais, tant la sérrenité les enveloppait.

Mais cette paix ne dura pas. Kei les fit se lever et le poussa à s'habiller. Ce qui frappa plus le jeune homme fut qu'elle évita son regard, il en fut attristé. Mais lorsqu'il se rendit pleinement compte qu'il nétait pas vraiment vétu comme il le faut, sa tristesse se dissipa pour une légère honte de sa distraction.
C'était donc le déjeuner qui l'attendait... Evidement, il aurait dut y penser. Quel tête en l'air ! Kei sortit donc, tandis que lui se dirrigeait, un peu dépité, vers les vetement qu'il avait préparé.

*Je suis un imbécile ! Elle va se faire une drole idée de moi, maintenant...*

Broyant un peu du noir face à sa bétise, Kiosuke s'habilla sans trainer. Il ne voulait surtout pas faire attendre Kei, qui semblait déjà le désestimé... Elle ne voulait plus le regarder en face, et lui-même, en serait-il capable ? Toutes ces intérrogations le travailant, il se dirrigea vers la porte et l'ouvrit. Il fut surpris, par contre, de voir Kei lui sourir timidement, lorsqu'il passa la porte. Elle l'avait attendu...

Un peu ému, il ne put que chasser toutes les inquiètudes de son esprit. Tellement infondées ! Il était vraiment idiot de penser ainsi, elle n'était pas ainsi. Fort heureux, il s'aprocha de la jeune fille, lui posant les main sur les épaules et aprocha ses lèvre du front de la demoiselle. Il y déposa un leger baiser, puis lui proposa doucement d'aller manger.

"J'aie hate de gouter ce que tu as fait, et je ne te remercierais jamais assez." Sur quoi, il l'attira vers la table en lui posant une main au niveau de la taille.