Le refuge par la fuite...

Kiosuke s'en était aller, avait quitté le Lycée et aussi sa maison. Il était cencé y vivre, mais il n'avait même pas pu s'y installer. Ses affaires, elle devait encore trainée dans le couloir. Il les avait abandonnée et s'était enfui dans le parking. Ou il avait fait un bien étrange connaissance.
Voila maintenant que, sorti par l'entré des automobiles, il se retrouvait en pleine ville. Ou plutot, dans un quartier urbaniser qui lui était totalement inconnu.

*Bah, après tout, ce ne sera pas pire qu'ailleurs, et je pourrai me balader tranquille*

Ainsi, notre jeune homme s'en allait, non pas gaillement, mais nonchalament, à dériver de quartier en quartier, s'en jamais vraiment s'éloigner du Lycée. Et enfin, alors qu'il commencait à en avoir marre, il pouvait voir à sa gauche une enseigne: "Momo 's Bar". Traduction littéral, "Bar de Momo". De l'anglais, Kio-kun n'était pas si bète. Momo étant sans doute le nom du patron.
Il mit ses main en poche, constatant ces dernière vide. Il n'avait pas beaucoup d'argent, il lui fallait un job. Sans tarder, il entra dans l'établissement.

*Peut-être m'acceptera-t-on comme plongeur, ou mieux, serveur...*

En effet, il s'arrangerai pour convaincre le patron de le prendre sous son aile. Un travail après cours, c'était toujours ca de pris. Le batiment était spacieux, et le comptoir luxueu. Personne ne se tenait derrière, mais une jeune fille brune, au visage agréable à regarder, était en train de servir deux café à de vieux gars. Vieux car ayant au moins 30 ans et portant des costumes-cravatte. Tel était une des idée toute faite de Kiosuke.

Il alla donc s'asseoir au bar, attendant que quelqu'un vienne s'enquérrir de sa présence. Il demanderais alors la parton, et se vendrait à petit prix, afin d'être engager.

[Voila voila, c'est libre^^]

Il attendait toujours, oui, Kiosuke attendait, assis sur son tabouret. Non qu'il avait l'air bête, mais il en avait marre. Cette attente interminable, personne qui venait lui parler, et lui qui... Qui ressentit alors un frisson. Ou plutot, comme un courant d'air lui montant le long de l'échine, lui glissant dans la nuque pour se faufiler jusqu'a son oreille et lui soufler... Lui soufler quelque chose, mais quoi ?

*Quel sensation... Etrange. Comme lors de mon initiation...*

Etait-ce possible que ce soit le même phénomère ? Ici, loin de ses semblables ? Et pourtant, il y avait déjà Rie qui était un lien entre lui et eux... Et puis cet atmosphère qu'il avait senti en arrivant, dirrérente...il y avait bien des mistères en ce lieu. Sur qu'il ne les éluciderais pas tous, mais certain, il se le jurait, ne serait plus secret pour lui.

En revenant à cette sensation, il se pencha en arrière, fermant les yeux. Il devait avoir l'air bête, mais il fallait qu'il sache... Oui, il en était persuadé, cette fois, c'était exactement la même chose. Et il savait comment régair cette fois, pas comme à sa première confrontation, ou il avait failli échouer.
Des lors, il inspira profondément, et commenca à réciter des rituel, tout bas, qu'il connaissait, les yeux fermé, il voyait des flamme dansée sur ses paupière clause. Un son strident lui parvenait, du plus profond de lui-même et qu'il allait en s'exteriorisant, pour enfin venir de la pièce ou il se trouvait. Doucement, la source de résonance se précisait, jusuqu'a venir d'un endroit précis de la pièce.

Dès lors, le jeune homme dirrigea son regard aveugle, se référent au son, vers cette fameuse source, et il y vit une silhouette, nettement découpé dans les flammes, d'une pale blancheur, cette silouhette était celle d'un jeune fille. mais il ne pouvait en distinguer les couleurs s'en dégageant. Seul la forme était visible. Kiosuke réouvrit alors les yeux. Forcément, il ne vit qu'une table et ses chaise vide. Mais il alla s'asseoir tout de même, à l'une des chaise adjacente à celle ou il avait vu auparavent la jeune fille, le dos tourné aux autres client. Il posa ses bras sur la table, ces derniers croisé. La tête penché, il regardait le plastique blanc-gris de la table et dis tout bas.

"Je sais que tu m'entend, et je sais que tu peux faire en sorte que je t'entende. Alors dis-moi, que fais-tu ici, jeune fille..."

Trempée... Elle était trempée ? Et pourtant, elle n'était pas vraiment en concordance avec les loi de la physique... Quoique Kiosuke savait que sous certaine condition, même les esprit pouvait apparaitre comme des humain normaux, et même être visible par ceux qu'il désirait. Kiosuke ne la voyait que partiellement grace à un subterfuge, ce dernier n'étant pas accessible à grand monde.

Le jeune homme continua alors à s'adresser à la jeune fille discretement, de manière à ne pas attiré l'attention.

"Tu es trempée ? Il vient de pleuvoir non ? Je peux le comprendre... Mais je ne l'avait pas remarqué, excuses-moi." Kiosuke savait que s'excuser auprès d'un esprit n'était pas vraiment une nécécité, mais il le faisait pas sympathie pour cette jeune fille qui avait du décéder... bien tot. Trop tot même, il en était désolé pour elle.
D'un autre coté, il lui reconnaissait un avantage. Il était bien plus à l'aise avec elle, qu'avec d'autre fille du commun mortel, comme plus tot, cela avait été le cas dans la journée.

"Si tu veux du chocolat, il te suffit de te matérialiser et de le demander. A moins que..."

Kiosuke alai achever en supposant qu'elle n'en était pas capable lorsque la jeune serveuse s'aprocha d'eux. Bien sur, elle ne fit attention qu'a lui en lui demandant ce qu'il désirait.

"Pour moi, un coca et pour..." Il s'intérrompit, il allait dire une bétise. Heureusement, il se rerit rapidement en demandant ce qu'il y avait en vente en matière de chocolat, on lui répondit qu'il y avait juste des gauffres recouverte de chocolat. N'ayant pas la possibilité de demander à la jeune fille, il commanda en plus cette fameuse gaufre et la demoiselle s'en alla répondre à sa commande.

Il se tourna vers la jeune fille avec un sourire un peu niais. "Dis-moi... Tu as de quoi payer, en fait ? J'aie commander en sachant que je n'avait pas de monaie." Il se grata la tête, il devait avoir l'air un peu bête mais après tout, il rendait service à la jeunette. Mais jeunette... Il ne savait ni son nom, ni son age, et il n'avait fut estimé ce dernier qu'a la taille de la silouhette, ce qui n'était pas vraiment précis.

"Pardonnes-moi mais... Je peux te demander ton âge, et ton nom ? Et si tu veux, tu pourra m'expliquer ce qui te rend si démoralisée. Je sais que peut de monde se rende vraiment compte de ta présence, donc, puisque je suis là... Mais si tu n'a pas enve, c'est ton droit le plus absolu."

Effectivement, si elle était en manque de force... Par contre, il ignorait que la pluie pouvait être un facteur d'influence. Mais après tout, il avait encore bien des choses à apprendre avant de pouvoir se considèré comme un expret en la matière.

Kiosuke avait donc raison, elle n'avait que 16 ans, comme lui. Enfin, du moins en apparence. Dieu sait depuis combien de temps elle errait. Kiosuke aurait bien voulu rigoler avec elle de son sort, mais il aurait trouvé ca irrespectueux. Après tout, bien qu'il se sentait à l'aise, il ne connaissait cette fille que depuis quelque minute. Et d'ailleurs, il l'avait aborder bien brusquement. Il voulu se ratraper.

"Je m'appelle Kiosuke. Pour ton billet, pardonne-moi, je te rembourserai dès que je récupérerai mes affaire..." Comme il semblait bien évasif, il expliqua les chose. "En fait, je vit, désormais, au Lycée ci-près. Entre nous, je le trouve bien spécial pour un bète Lycée cytadain."

Cependant, Kiosuke réfléchit un moment, comment pourrait-il la retrouvée, une fois qu'il aurait récupèré ses affaire, et aussi, pourquoi cette jeune fille avait tant besoin de sucre...
Il fut intérrompu dans ses pensée par la serveuse qui vint leurs servir leurs - enfin sa - commande. Il lui tendit le billet et elle lui changea la monaie à rendre. Après quoi il se tourna vers Kei qui avait déjà commencé à manger sa gaufre, alors devenue invisible au contact de la jeune fille.

"Dis-moi, Kei, je me doute que tu dois bien avoir un lieu de hante, si je puis dire. Je ne sais pas lequel est-ce mais..." Et là, il hésita un moment mais reprit de l'assurance "...Voudrais-tu bien m'accompagner dans mon Lycée, je t'en prie. Je suis seul, toi aussi, j'aie tant de chose à aprendre de toi, et tu m'a l'air sympthique. Aussi, je te payerais les bonbon que tu veux !" Mais là, il semblait aller un peu loin. "!! Ah pardon, ce n'est pas ce que je voulait dire, pas te payer. heu... Je..."

Il bégueillai tellement qu'il ne savait trop quoi dire, mais c'était une chance innée. Il joingnit les mains en signe de suplication, la tête penché. Il avait l'air trop bête à faire ca tout seul, surtout que lui-même ne la voyait pas. "Je t'en prie..."

"Ah heu... Tu est certaine ??"

Il accordait sa phrase au féminin, car Kio-kun avait supposé qu'il s'agissait d'une fille, étant donné la longue chevelure qu'ilavait pu constaté sur la silouhette. Maintenant, il s'agissait peut-être d'un enfant au cheveux long... avec une vois bien éfféminée (xD).
Donc, il n'aurait pas à la rembourser. Bah, tant mieux. Mais elle semblait si triste à l'idée de ne plus avoir d'argent... Il était décidé, il lui rendrai donc, tout de même, l'argent dépensé pour lui-même avec son coca - qu'il venait de terminer d'ailleurs.

"Hum... Oui oui, le lycée Tahakara, juste à deux pas. J'y suis arrivé aujourd'hui, et j'aurais bien besoin de me reposer un peu, d'ailleurs." Notre jeune homme eut un petit rire - mais discret, il aurait drole de mine à rigoler tout seul - à la remarque de Kei. Ainsi, c'était une dépensière. Lui-même ne l'étant pas du tout, cela maintiendrait un équilibre, lui, n'ayant pas spécialement besoin de fairedes économie, et avec l'argent que lui envoyait ses parents chaque mois, il n'aurais pas de soucis.

L'esprit lui assura donc que son seul soucis était de trouver un endroit ou vivre et accepta donc de le suivre. Kiosuke en fut ravi et ne réprima que très légèrement un sourire de satisfaction. C'était une aubaine, et il en serait longtmep reconnaissant à la demoiselle.

"Bien, surtout que le soleil commence à décliner sérieusement." Après un léger laps de temps. "Au fait, tu m'a dit que tu avait été viré... Comment cela ? Enfin non, ne me raconte pas maintenant. Tu..."Kiosuke je ta un regard par la vitre, la pluie semblait avoir cessée. "Nous allons y aller maintenant, tu m'expliquera en cour de route. Ca te vas ?"

Alors qu'il se levait de son siège - et suppossant que Kei fesait de même, il répondit par l'affirmative a la question des propreté du Lycée. Enfin, il l'affirmait, mais il n'vait lui même encore jamais vu sa chambre, donc... Bah, il supposait qu'il y avait tout de même un minimum d'hygiène, tout de même.

Avant de se dirriger vers la porte, il vérifia que personne se rentrait ou sortait, afin d'éviter toute collision avec la jeune. Bien qu'elle devait avoir l'habitude et faisait attention elle-même.
La voie semblait libre, ils sortirent donc tout deux dans la rue et il pris le chemin en sens inverse. Au fur et à mesure de leurs progression, le soleil se couchait et le crépuscule se faisait sentir.

Ainsi, ils arpentaient tous deux les quelques rues les séparant du Lycée, à la lueur du crépuscule, et aussi des nombreuses lumière urbaine illuminant les rue de leurs blancheur éblouissante. Les enseignes des pub et autre petits magasin affichait fermé, ou s'éteignait au fur et à mesure de leurs progression. Tous présageait que la nuit tombait.

Alors que Kiosuke s'attendait à quelque choses de plus long et de plus compliqué, la jeune fille, dont il supposa toujours la présence aurpsè de lui, étant donné qu'il entendait toujours sa voix et quil n'y avait personne à ses coté. Il ne pouvait donc y avoir qu'elle. D'accord, ce raisonement se contredisait, mais l'étudiant, lui, se comprenait.
Donc, comme dit plus haut, il fut surpris de la petitese de l'explication de l'esprit, selon laquel il avait perdu son ancien refuge. Ce dernier avait simplement été détruit. Au moins, cela ne manquait pas de clarté, mais était un peu bref.

"Tiens, je ne savais pas qu'il y avait eu un cinéma. Enfin, tu me dira, c'est normal, c'est la première fois que je met les pied dans cette ville, mais bon..."

*De plus, cela peut remonter à loin, et il pourrait même ne plus exister les débris...*

Alors, peut-être dans un élan de sympathie, ou juste pas curiosité, il s'adressa à Kei. "M'enmeneras-tu voir ton ancie lieu de résidence, un jour... ?"

Cependant, quelque chose dérangeait encore Kiosuke, lorsqu'il arrivèrent au portail du Lycée. Celui-ci était encore ouvert, même à cet heure. Normal, les internes, qui avait libre circulation dans la ville, devait toujours avoir accès aux batiments. En effet, ce qui le dérangeait, c'était que la jeune fille avait parler d'un Nitro-Kun... Mais qui était-ce ? Son ami du moment, son chien ? Ca n'avait pas vraiment d'importance, mais étant curieux, il ne put s'empècher de demander, avant de monter les marche du péron.

"Dis-moi, Kei... Qui est ce, Nitro-Kun ?"

[Et voila, on aura plus qu'à passer dans le Lycée, forum que tu souhaite mais je propose soit couloir soit hall, a ton aise. Par contre, je te laisse beaucoup de marge pour imaginer la suite donc, hésite pas^^]